Présentation :

« Dormez tranquilles, bonnes gens », écrit Boualem Sansal dans un « avertissement » placé en tête du ­roman. Ceci est « une oeuvre de pure ­invention. [...] Tout est parfaitement faux et le reste est sous contrôle ». Fable, parabole ou pamphlet, voici l’avènement apocalyptique d’une théocratie universelle, totalitaire, d’où sont exclues les femmes.